• La "hijama" dont l'appellation en arabe provient du mot "hajm" (sucer, absorber, aspirer, extraire) a été longtemps pratiqué par nos coiffeurs à la place "hajamine" du temps où ils ont été de véritables "hajam" (extracteur de sang) et "tahar" (barbier circonciseur et par moments dentiste aussi à l'instar de si Boujdaria) et non "hallak".(coiffeur) se consacrant exclusivement à la coupe de cheveux.
    Actuellement si Mustapha Ben Amira est parmi les rares personnes à perpétuer cette tradition curative ancestrale datant de l'époque  pharaonique qui consiste à soulager le patient du mauvais sang agglutiné au dos entravant la circulation ce qui peut engendrer de nombreuses maladies. Le Prophète Mohamed "Salla allahou alayhi wa sallam" recommanda de nombreuses fois la pratique de cette thérapeutique aux musulmans.De nos jours peut être par négligence ou simple abandon à cause du progrès de la médecine, les règles d'extraction du sang ont été graduellement oubliées et perdues. Il y a aussi le fait que des personnes mal intentionnées ont refilé beaucoup de mensonges qui ont poussé les gens à s'abstenir de l'utiliser .


     


    Les effets curatifs


    D'éminentes sommités médicales et cliniques arabes installées en Syrie et en Europe  réunies sous la houlette du Professeur Abdul-Kadir John Alias Al-Dairan ont entrepris des recherches scientifiques sur la "hijama" et abouti à des résultats époustouflants dans la guérison de nombreuses maladies incurables  comme le cancer, la paralysie, la  migraine,. l'hémophilie, les maladies cardio-vasculaires, la stérilité, l'impotence et l'incapacité de procréer, l'asthme, le rhumatisme et les maladies ophtalmiques après avoir fait des essais sur de nombreux patients. 


    Le savant Arabe Syrien, Mohammad Ameen Sheikho a ranimé aussi cette pratique (sunna) dans ses règles orthodoxes.


    Le Mécanisme


    D'abord lorsque le patient entre chez le "hajam", il dira dans le jargon populaire "nahili zouz dam" (enlève moi deux sangs). De même lorsque quelqu'un s'énerve il dira "bach tnahili zouz dam" (tu vas m'enlever zouz dam).


    Le mécanisme consiste à faire sucer du sang extrait de la partie supérieure du dos (les omoplates) ou de la nuque en utilisant des tasses spéciales "Mghaïeth" soit en cuivre ou en verre pour le dos avec une petite ouverture ronde d'un diamètre inférieur à celui du milieu.


     Le "hajam" commence à brûler un petit morceau de papier coupé d'un journal sous la forme d'un entonnoir.


     Après avoir au préalable fait une incision à l'aide d'un bistouri ou d'une lame de rasoir le "hajam" insére le cône brûlant dans la tasse et plante immédiatement l'ouverture de la tasse sous l'omoplate ; une grande quantité d'air brule à l'intérieur des tasses et émet de la pression sur le corps pour en extraire le sang impur.Quant c'est fini les deux tasses sont retirées.


    Bien avant l'avènement des "mghaitehs" on m'a dit qu'au début du siècle passé on suçait le mauvais sang par la bouche au moyen de "maçàçat" ( suceur-embout qui s'adapte à un tube permettant une vitesse d'aspiration élevée)


    De nos jours le suceur de sang devient un terme péjoratif (celui qui exploite les autres). On dit aussi sucer quelqu'un jusqu'à la moelle !!


    Le "tachlitt" et le "baghtane-al fasd "


    Le "tachlitt" est également une vieille tradition thérapeutique utilisée pour soulager les gens essentiellement de la migraine lorsque le "tabaâ el phil ou echafi " (antalgique) où le "ghalfane" (hydrothérapie) ne donnent pas les résultats escomptés.


    Contrairement à la "hijama" qui se pratique exclusivement par le "hajam" le "tachlitt" de moindre complexité peut se faire par Monsieur tout le monde.


    Il suffit de disposer d'un petite lame de rasoir imbibée d'alcool à bruler pour se faire des petites incisions le long du  front ou pour les plus modernes des micro-incisions latérales au front vraiment invisibles.


    On termine la séance par un badigennage d'une écorche  d'oignon "bsal" comme antiseptique. certains en gardent des cicatrices jusqu'à aujourd'hui et ont le look assez ringard "goôr barcha".


    Il y avait aussi le "bagtane" pratiqué autrefois par le "hajam". la nuque du patient est bien serrée par un foulard. les incisions sont beaucoup plus profondes dégageant énormément de sang. vivement que ce soit terminé.



     selon Abdou Allah Ibn Abbas, qu'Allah soit satisfait de lui, le messager de Dieu (ABS) a dit: "Le prophète qu'Allah le bénisse et le salue a saigné et s'est  instillé". (Rapporté par El-Boukhari et Mouslem.  (La traduction du Hadith)


    Le Hidjama c'est faire sortir du sang à partir d'une zone définie du corps. Le sang s'accumule dans le zone arrière de la personne en haut du dos « Kahil en Arabe ». Avec l'avance de l'âge, ces accumulations de sang corrompu gênent la circulation du sang pur, et ont par la suite paralysé le travail des jeunes molécules rouges du corps, et le corps est devenu faible et exposé à de divers genres de maladies. 


    quand on a applique le Hidjama, ont fait sortir le sang stagné du corps et il reste que le sang pur et propre et la circulation du sang deviendra normal . 



    La pression sur le corps a été diminuée et le sang pur formé de jeunes corpuscules rouges s'est précipité pour alimenter les cellules et les organes du corps et les à libérés des résidus nocifs.

    Notre Prophète Mohamed (la communication avec Allah et paix sont par lui) dit :


     « Hidjama est l'acte le plus utile pour que les êtres humains se traitent avec » 

    Le Hidjama peu guéri plusieurs maladies dont :


    * Migraine, cas de cancer, prostate,  
    * Rhumatisme, nerfs discale, Mal de dos ...
    *les asthmatiques,  Tension, 
    *des cas de Diabète, Hémophilia  **des cas de Paralysie, 
    *Hépatite, des cas de problème d'estomac,
    *la fatigue,* Varices, Hémorroides,*le psoriasis, l'obésité(perdre du poids).*grossir (prendre du poids)




    si vous voulez des renseignements et des coordonnées laisser moi un e-mail  mina.fon@free.fr


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     Par le Dr. Mohamed El-Saka Aid

    Allah, le Très Haut dit : « …car la Salât demeure pour les Croyants une prescription à des temps déterminés ». (Sourate An-nissa’ « Les femmes », verset 103).

       La prière est l’un des cinq piliers de l’Islam qui a recommandé aux Musulmans de l’accomplir. Elle est évoquée dans plusieurs versets du Saint Coran où Allah exalté soit-Il, dit : «… et accomplis la Salât pour te souvenir de moi ». (Sourate Ta-Ha, verset 14).

       En réalité, la prière est le remède favorable et la guérison divine pour toutes les maladies, qu’elles soient somatiques, organiques, psychologiques ou neurologiques ; elle est prophylactique et empêche le mal. Dans l’acte de la prière, chaque muscle dans le corps se donne du mouvement, ce qui mène à sa protection et à sa fortification. Ainsi, plus qu’elle soit une soumission et une obéissance à Allah le Créateur, la prière est un exercice physique ayant des bénéfices énormes. En effet, le corps humain se forme entre autres, d’os, d’articulations, de muscles, d’artères, de veines et de nerfs. Toutes ces composantes ont besoin de se lubrifier quotidiennement car, le repos total et le sommeil leur causent de l’indolence, du relâchement et de l’incapacité dans d’autres situations exigeant plus d’efforts. Par exemple, la thrombophlébite atteint beaucoup plus les sujets qui sombrent dans l’inactivité et le repos complet.

       Aussi, il convient de souligner que dans le corps humain, les muscles se comptent par centaines, les nerfs se propageant dans tout l’organisme sont nombreux, entrecroisés et complexes ; Ils ressemblent à des fils électriques. Les os quant à eux, sont en nombre de 360.

    Par conséquent, la prière est un exercice physique excellent durant lequel se meuvent les articulations et les muscles, et s’active la circulation sanguine. Que dites-vous alors de cinq (5) exercices physiques (cinq prières) par jour qui se répètent quotidiennement tout en agrandissant et raffermissant la foi de la personne qui prie (le Musulman).

    La revue cairote « El-Moudjahid » a publié dans son numéro 146 en mois d’avril 1986, un article du Dr. Othman El-Khawas, spécialiste en orthopédie, et dans lequel il dit :

       «D’abord, lorsqu’il s’est avéré que les exercices physiques sont la base pour une bonne constitution du corps qui va sans aucun doute, avec un esprit sain, les méthodes modernes d’éducation ainsi que la science de la médecine préventive les ont vivement recommandés. Ces exercices physiques ont été pris en considération pendant des séances régulières comme c’est le cas de toutes les autres matières et activités.

       Alors, accomplir la prière cinq fois par jour est le meilleur moyen pour tirer avantage de ces exercices. Ses moments sont les plus opportuns et avantageux ; avant l’aube (la prière d’As-Soubh) où l’air est pur et le corps est encore affecté par le sommeil, au milieu de la journée (la prière d’Ad-Douhr), où le corps est fatigué par le travail, au milieu de l’après midi (la prière d’Al-Asr) où la journée de travail tire à sa fin alors que le corps est accablé encore par la lassitude,  au coucher du soleil (la prière d’El-Maghreb) où l’être humain s’apprête au repos de la nuit, et enfin  le soir (la prière d’El-Ichaâ), fin du jour.

       Ensuite, il a été connu que la prière est le meilleur moyen pour l’activité de la circulation sanguine qui, elle aussi, stimule tous les autres appareils dans l’organisme. Donc voilà, As-Salât est considérée comme un stimulant pour la digestion et l’appétit. N’est ce pas que les moments de son accomplissement sont en rapport absolu avec cette moralité portée ! A l’aube, avant le petit déjeuner ; à midi avant le déjeuner ; au milieu de l’après midi, entre les deux repas (déjeuner- dîner) ; et enfin, le soir (le dîner) où la digestion est forte.

       Ainsi, on a pu grâce à la prière guérir beaucoup de maladies gastriques dans un temps record. en faisant abstraction de tous les miracles de traitements et curation prescrits afin d’apporter remède à d’autres maladies, il y’a également d’autres miracles dans la guérison du boiteux, de l’impotent et de l’aveugle, …

       Etant dit, des milliers de cas de maladie auxquels les traitements médicaux, chirurgicaux et psychologiques n’ont servi à rien, et en face desquels les médecins les plus perspicaces sont demeurés désespérés, ont trouvé remède par les miracles de la prière.  De ce fait, la prière est comme un métal, émetteur de rayonnements et auto-générateur d’activité. Il faut admettre qu’elle n’est pas une simple récitation mécanique d’invocations comme le pensent beaucoup de non Musulmans, mais encore une sublimation soufiste où l’être humain entre en contact avec Allah le plus Haut, en se soumettant à lui dans le but d’acquérir de la quiétude ainsi que la sérénité.

       En plus, la prière fait surgir des miracles ayant des effets sur les cas pathologiques : un bon nombre de patients souffrent de différentes maladies telles que l’ostéite, les infections suppurées, le cancer, …

       Enfin, sur le plan psychologique, les bienfaits de la prière sont innombrables et essentielles à être citées. Ceci dit, en priant, l’être humain se soumet à Allah, louange à Lui, qui est capable de faire toute chose et toute chose ne peut se passer de Lui, et arrive conformément à ce qu’Il a prescrit et à sa volonté. En priant, le Musulman est convaincu que l’Homme ne lutte pas seul dans cette vie, il y’a un Créateur, Allah le Clairvoyant, le Juste et le plus Savant à propos de toutes les choses qu’il n’arrive pas à comprendre….S’il est victime (l’Homme) de l’injustice de quelqu’un, il s’en remet à Allah, l’Audient, le Clairvoyant qui lui fera justice, le plus Miséricordieux des Miséricordieux

       Ce sentiment enveloppe la vie de l’être humain dans un climat de sérénité psychique l’aidant à vivre en bonne santé physique, avec un bien être mental et avec une quiétude sensorielle. Toutefois, réduire la prière (As-Salât) exclusivement dans l’esprit entraîne le stresse et la trouble.

    D’autre part, le Dr. Rose H, conseillère médicale à l’hôpital de Boston, dit que parmi les traitements entrant dans la curation de l’angoisse et l’anxiété, est quand la personne qui en souffre se confie à quelqu’un à qui fait-elle confiance. Autrement dit, en parlant avec abondance et détails de ses ennuis, le malade finit par libérer son esprit de ses inquiétudes ; alors, livrer le fond de ses craintes guérit sans pour autant conditionner le statut de son confident, qu’il soit médecin, juriste ou religieux. Le tout est de sentir qu’il l’écoute, perçoit son angoisse et sa douleur et le soutient. Que dire donc de faire recours à Allah le Clairvoyant qui possède tous les biens ! N’est ce pas que l’être humain, en faisant sa prière se voit délivré de toues ses maladies !

    Méditons ce verset coranique qui énonce :

    « Ne connaît-il pas ce qu’Il a crée alors que c’est Lui le Compatissant, le Parfaitement Connaisseur ». (Sourate Al-Mulk « La royauté», verset 14)

       Ainsi, le Dr. Alexis Karel qui a reçu le prix Nobel, dit dans son livre « l’Humain, cet inconnu » : Il se peut que de nos jours, la prière est la plus grande énergie potentielle qui produit de l’activité. Entant que médecin, j’ai eu beaucoup de patients auxquels les médicaments n’ont pu porter remède, signe d’impuissance et d’incapacité de la part de la médecine. Tandis que la prière les a guéris de leurs maladies.

    « En somme, la prière produit de l’énergie et de l’activité, et avec laquelle l’être humain œuvre à intensifier son activité étant limitée et ce, en s’adressant aussitôt à une force sans limites qu’on ne peut imaginer (celle d’Allah) ».

    « En priant, nous nous unissons avec cette gigantesque force qui a la haute main sur tout l’univers. Nous demandons à Allah de nous attribuer un brandon d’elle auquel nous faisons appel contre les souffrances de la vie. Chose est sure, la récitation pendant la prière (versets du Coran, invocations) nous procure et nous garantit seule de la force et de l’activité qui s’agrandit davantage. D’ailleurs, nos implorations et nos invocations ne sont jamais inutiles, bien au contraire, elles nous procurent, non seulement de la sérénité, mais encore, de la solidité et de la confiance absolue en Allah ».

     

    Le secret des miracles de la prière et la prosternation

    C’est dans « la revue » saoudienne que le Dr. Gharib Jamâ a écrit son article intitulé « Le secret de la prière et la prosternation », paru dans le N° 224 du mois de février 1996, et dans lequel il dit :

    « Nulle adoration ne jouit de la faveur, de l’attention et de la considération comme celles accordées à la prière « As-Salât ». Elles étaient évoquées dans le Coran et la Sunna jusqu’à ce qu’elle ( la prière) soit le support de la religion (l’Islam), le cap de toutes les adorations (devoirs religieux), signe de la certitude et de la vérité et en haut de l’échelle des âmes vers                                                                    une atmosphère angélique et un horizon serein et pur ».                                                                                                                                                                                                                                                 

    Et si on observait bien les piliers les plus répétés de la prière, on constaterait vite que la prosternation a été attribuée à ceux qu’Allah a élevés aux honneurs.

    Question & réponse

    Une question se pose : Quels sont les bienfaits de la prosternation pour qu’Allah, le Très-Haut, lui attribue ce standing ?

    1/ La prosternation favorise la baisse de la tension, et au fur et à mesure qu’elle se prolonge, l’hypotension grandit. cela dit, la prière peut être le plus important facteur diminuant jusqu à rendre rare l’atteinte de la tension chez les prosternés. Aussi, elle peut être un traitement pour les personnes souffrant de la tension.

    En sus, les nombreuses prosternations sont considérées comme un exercice quotidien, régulier des centres de contrôles et leurs productions, qui se trouvent dans l’aorte, l’artère porte droite et son homologue gauche ; c’est ce qui favorise l’augmentation de leur capacité dans la régulation de la circulation sanguine. Par conséquent, le corps pourrait faire face à n’importe quel changement de position sans qu’il soit atteint d’étourdissements.

    2/ Tout au long du jour, l’être humain s’expose davantage aux charges électrostatiques « électricité statique » de la couverture atmosphérique, qui se centralisent au niveau du système nerveux central. Mais, faut-il se débarrasser de toutes ces charges qui seraient capables de nous entraîner certains ennuis et douleurs, tels que la céphalée (un mal de tête), les courbatures etles douleurs cervicales. Cela dit, la prosternation nous met en contact direct avec la terre (le sol) qui les dégrade et les absorbe (les charges) complètement. Dès lors, la pression électrostatique sur le cerveau diminue. Chose est sure, les prosternés sont, grâce à Allah Taâla, protégés contre les troubles psychologiques et la schizophrénie.  

    3/ La prosternation aide à l’épuration des sinus nasaux par l’évacuation de leurs sécrétions tout en diminuant le risque de survenu d’inflammation (la sinusite).Tandis que les sinus maxillaires, cette position déclive permet leur purification et l’évacuation des excès des sécrétions muqueuses lors desquelles la personne atteinte de la sinusite sent l’accentuation de la douleur mais, qui disparaîtra par la suite.

    Cela va également pour les sinus sphénoïdaux, ethmoïdaux et frontaux.

    4/ La perfusion sanguine cérébrale augmente lors de la prosternation. Le sang apporte au cerveau les nutriments et l’O2 nécessaire pour accomplir sa fonction, en sachant que le cerveau est le centrer de commande du corps humain. La diminution du flux sanguin cérébral se manifeste clairement chez les sujets qui restent en position debout prolongée. A titre d’exemple, les soldats de la garde chez lesquels survient une perte de connaissance brutale. Le traitement de celle-ci est très facile, il suffit que ce soldat dorme sur le dos avec une surélévation des deux pieds au même niveau que la tête et alors, il reprend connaissance.

       Il convient de souligner encore que l’augmentation du débit sanguin de la région de la tête aide à stimuler la circulation sanguine au niveau de la face et du cou leur procurant beauté et fraîcheur notamment quand il fait froid. 

    Observez les pratiquants du Yoga ont saisi l’importance de la position basse de la tête. Par suite, ils ont classé parmi les différentes positions de leur sport (le Yoga), celle de se mettre debout sur les épaules. A vrai dire, c’est un sport crée et imposé par les humains, mais qu’Allah nous a commandé des pratiques dont les bienfaits sont plus meilleurs que ceux des pratiques découvertes par l’Homme.  

    5/ La prosternation aide à prévenir la survenue des hémorroïdes et l’apparition des thromboses veineuses, elle guérit la constipation et est regardée parmi les meilleurs positions pour le traitement du prolapsus congénital de l’utérus. Ses bienfaits ont été récemment découverts car, les gynécologues l’ont recommandée pour la curation de certains symptômes. Ils l’ont appelée la position « des genoux et du thorax ».

    Par ailleurs, sous le titre de « Les miracles de la prière dans la prévention des varices des membres inférieurs », la revue saoudienne « Les miracles » a publié dans son N°2, paru en Joumada El-Oula 1417 la première recherche médicale portant sur la relation entre la prière entant que législation islamique et la prévention des varices des membres inférieurs.

    Il a été prouvé dans cette étude faite par le Dr. Tawfiq Alwane qui a reçu         le grade de Magister par excellence de la faculté de médecine, service de chirurgie, université d’Alexandrie, que la prière « As-Salât » protège contre toute éventuelle atteinte des varices tout en exposant des preuves scientifiques appuyées par des documents, des images et des tableaux. Il a été démontré aussi que la négligence de la prière mène de façon vigoureuse vers cette maladie fréquente qui touche entre 10 à 20% de la population.

    Etant dit, les Scientifiques ont constaté tout en affirmant qu’il existe deux principaux éléments entrant dans la destruction des veines superficielles, et favorisant l’apparition des varices des membres inférieurs. Il s’agit de :

    Elément 1 :Une hyperpression exercée sur les parois des veines superficielles des membres inférieurs à travers une position debout prolongée.

    Elément 2 : La veine superficielle prédisposée à présenter une atteinte est sous l’influence d’une maladie générale des tissus de soutien qui entraînent la fragilisation de ses parois par rapport à une veine homologue normale.

    Et l’on voit bien que l’association de ces deux éléments chez une personne entraînera inévitablement la maladie en question.

    D’autre part, il est clair que la prière se regarde comme un facteur influent dans la prévention des varices et ce, pour trois raisons :

    D’abord, ses particulières positions conduisent vers une hypopression exercée sur les parois fragiles des veines superficielles des membres inférieurs.

    Ensuite,son activation du fonctionnement de la pompe veineuse latérale, et par suite, la diminution de la pression sur les veines superficielles.

    Enfin, le renforcement des parois fragiles en augmentant le métabolisme cellulaire, non seulement au niveau des vaisseaux, mais également dans tout l’organisme.

    Somme toute, la quintessence de tous nos propos communiqués avec plus ou moins d’éclaircissement est la suivante : Si l’être humain (adorateur) recourt à Allah Taâla (Le Très-Haut) en ayant un cœur et une âme purs et sincères, Allah est avec lui. Et s’il prie humblement et avec une dévotion apparente et intime (interne), sa Salât est considérée comme une clinique psychologique et une source de remèdes pour beaucoup de maladies organiques


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  • Qu’est ce que la maladie ?

          C’est une altération, une dégradation de la santé de sorte que l’individu se trouve dans un état général de malaise. A cette définition objective de la maladie, l’islam nous offre une dimension spirituelle du sens même de cet état.

    La maladie comme épreuve

     Le prophète dit : « Le croyant est sans cesse éprouvé dans sa personne,  dans sa progéniture et dans ses biens jusqu'à ce qu’il se rende à Dieu, exempt de toute faute ». (Rapporté par At-Tirmidi)

      Durant sa vie l’individu est soumis à de nombreuses épreuves : la maladie, la pauvreté, la mort, les calamités…Ces circonstances douloureuses dévoilent chez lui un comportement qui peut exprimer soit de la révolte, soit de la reconnaissance, soit de l’ingratitude. C'est là que Dieu nous apprécie. Sommes-nous constants dans l’aisance comme dans la pauvreté, dans la maladie comme dans la santé, dans le malheur comme dans la joie ?

         C’est l’occasion de ces grands événements que notre foi est mise à l’épreuve et qu’elle révèle soit son authenticité soit sa fausseté. Dieu nous met en garde, les épreuves sont inéluctables et il faut s’y préparer afin de ne pas être pris au dépourvu. Elles existent pour nous éprouver.

     Dieu dit : 

    « Nous vous éprouverons pour connaître ceux d’entre vous qui luttent, ceux qui sont constants »   (Sourate 47 ; verset 31)

    D’après un hadith qoudi, Dieu  qu’Il soit Exalté dit :

     « En vérité, je vous le dis, Je suis le Dieu véritable, il n’y a pas d’autre Dieu que Moi. Mohamed est Mon serviteur et Mon envoyé, quiconque se soumet à Mes arrêts, se résigne au malheur dont Je le frappe et se montre reconnaissant de Mes bienfaits, celui-là Je l’inscris au nombre des hommes à la foi sincère, et je le ferai ressusciter avec cette catégorie de justes : mais celui qui, au contraire, ne se soumet point à Mes arrêts, qui ne se résigne point aux afflictions dont Je le frappe et ne se montre point reconnaissant de Mes bienfaits, que celui-là prenne autre Dieu que Moi. »

    La maladie efface les péchés

     Le prophète  a dit :

     « Tout mal qui atteint le musulman, s’agit-il d’une lassitude, d’une maladie ou d’une angoisse, même d’une piqûre d’épine, lui vaut de la part de Dieu une rémission de ses péchés. » (Boukhari & Mouslim)

      « Tout croyant, touché par quelque maladie, verra Dieu s’en servir pour lui pardonner ses péchés »  (Tabarani & El Hakim)

    Les œuvres du malade continuent

    Le prophète  a dit : « Quand un serviteur tombe malade ou part en voyage, Dieu lui inscrit l’équivalent de ce qu’il faisait   (comme œuvres bonnes) à résidence en étant sain »  (Boukhari & Abou Daoud)

      Quelle attitude adopter face à la maladie ? 

     La patience

         Sachant que la maladie efface les péchés et qu’elle constitue  une épreuve, une attitude s’impose : la Patience.

              Elle est une vertu indispensable à la vie et à la foi du musulman. Il doit habituer son âme à supporter l’adversité sans lassitude, attendre les résultats même s’ils ne sont pas immédiats et faire face aux difficultés quelles que soient leurs gravités et leur poids avec un cœur qui n’a point de doute. Rester confiant et garder l’espoir.

    Le prophète  a dit :  « Celui qui loue Dieu pour avoir été comblé, celui qui supporte patiemment l’épreuve, celui qui se repent après une injustice, celui qui pardonne après avoir été lésé. Ceux là auront la sûreté et seront bien guidés. »  (At Tabarani)

    Le prophète  disait :  « Celui qui s’efforce à supporter patiemment (le malheur) Dieu le dotera de patience. Nul ne reçoit plus ample bonheur que la patience »   (Boukhari & Mouslim)

    Dieu dit        « Cherchez secours dans la patience et dans la prière. »

    (Sourate 2 ; verset 45)

      Le malade doit se soigner

    Le prophète  a dit :  « Dieu a fait les maladies. Il a accordé à chaque maladie un remède, ne vous soignez pas par ce qui est illicite. » (Abou Daoud)

          Le malade doit chercher à se soigner par tous les moyens permis par la morale islamique, tout en se remettant à Dieu pour l’issue heureuse de sa maladie car la guérison reste une volonté Divine.

     Dieu  dit : 

    « … et quand je suis malade, c’est Lui qui me guérit. »

     (Sourate 26 ; verset 80)

        La plainte du malade

          Il est permis de se plaindre au médecin et à l’ami mais il faut louer Dieu avant de se plaindre.

     Le prophète  a dit :

    'Quand un serviteur tombe malade, Dieu lui envoie deux anges et les charge de voir ce que dira ce malade à ceux qui viennent lui rendre visite. S’il loue Dieu, ils rapportent ceci à Dieu qui en est informé. Dieu ensuite dit « Si mon serviteur meurt, Je me chargerai de l’introduire au Paradis. S’il s’en remet, Je lui substituerai une chair meilleure et sang meilleur que le sien et lui pardonnerai ses péchés. '  (Malik & Abou Ad-Dunya)

    La visite du malade

          Il est recommandé de se soucier de la santé de ceux qui nous entourent ainsi que de leur rendre visite s’ils sont malades.

     D’après Abou Horeyra ,   le prophète   a dit :

    « Dieu à Lui la Puissance et la Gloire, au Jour de la Résurrection, dira : « Oh fils d’Adam !Je suis tombé malade et tu ne M’as pas visité ? Seigneur, répondit l’homme comment te rendre visite et Tu es le Seigneur des mondes ? Ne savais-tu pas que mon serviteur untel est tombé malade et tu ne l’as pas visité ? Ne savais-tu pas que si tu l’avais visité, tu M’aurais trouvé chez lui ?… »

    (Rapporté par Mouslim)

     Encourager le malade

          L'encourager par de bonnes paroles afin de fortifier son âme et lui faire l’invocation suivante :

     « Oh Allah, Seigneur des hommes, chasse le mal, guéris (le) donc de la maladie, car Tu es Seul à guérir et nul autre en dehors de Toi ne guérit, et Ta guérison ne laisse point la (moindre trace de) maladie »

     « Allahouma adh-hib al-bas ssa Rabannas, ichfi wa enta achchafi, la chifa-a illa chifa ouka chifâ-an la youghadirou siqaman »

           Aussi penser à raccourcir la visite sauf si le malade demande votre présence

    Le visiteur peut demander aux malades des invocations en sa faveur

     Le prophète  a dit : « Lorsque tu visites un malade demande lui de t’invoquer Dieu, ses invocations ressemblent à celles des anges. »  (Rapporté par Ibn Maja)

             Il est également recommandé d’invoquer Dieu en faveur du malade et de réciter le Coran.

    Quelques invocations

          Lorsqu’on se plaint d’un mal, le Prophète  a dit :

     « Mets ta main sur l’endroit du mal et dis : « Au nom de Dieu » Puis dit : je me réfugie auprès de la majesté de Dieu et Sa puissance contre le mal que je trouve en moi et contre ce que je fuis »

    (sept fois)  (Bismillah - A’oudou bi’-izalillahi wa qodratihi min charri ma ajido wa ohâdiro )

         Lorsqu’on rencontre un éprouvé le prophète  a dit :

     « Quiconque, à la vue d’un éprouvé, (un handicapé, un malade, un pauvre…) dit « Louange à Dieu, qui m’a épargné de ce dont il a frappé autrui et m’a grandement avantagé par rapport à ceux qu’Il a créés » sera à l’abris de ce malheur »  (rapporté par Attirmidi)

     (El hamdoulillahi ladhi ‘âfani min mabtalâka bihi wa faddalanî ‘alâ kathîrin mimman khalaqa tafdîlan )

              Dieu ne manque pas de nous donner de nombreux exemples dans le Coran afin d’illustrer le comportement vers lequel nous devons tendre, et l’histoire de Ayoub  (Job, sur lui la paix) est un véritable hymne à la patience et à la constance. Lui qui fut frappé de la perte de sa famille, de ses biens et fut atteint dans son corps de diverses maladies incurables. Dieu  dit de Lui :

     « Oui, Nous l’avons trouvé endurant avec constance, (quel) excellent serviteur, il aimait à revenir souvent à Nous. » (Sourate 38 ;verset 44)

     « Seigneur fortifie nous de patience et reçois-nous en croyant soumis à Ta Volonté » (sourate 7 ; verset 126) 

      Qu'Allah  guérisse nos frères et soeurs qui souffrent de tous maux

    Allahouma Amine - Amine - Amine


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    Selon le Hadith rapporté par Mouslim (4/16) et Ahmed (3/103), le Prophète Mohamed (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Quelle excellente sauce qu’est le vinaigre ! » (La traduction du Hadith).

    Il a dit aussi (bénédiction et salut soient sur lui) : « que Allah le Très Haut bénisse le vinaigre parce que c’était la sauce des prophètes avant moi ». Rapporté par Ibn Madja (3318) et Dhaif al-Djami (5973).

    Les bienfaits du vinaigre ont été prouvés scientifiquement : Il réduit le niveau des graisses dans le sang, si on en assaisonne une salade verte par exemple ; car il contient de l’acide acétique qui entre en interaction avec les protéines, les graisses et les hydrates de carbone et aboutit à la formation d’une molécule scientifiquement appelée l’Acetoacetate.

    Ajouter le vinaigre régulièrement aux repas, de préférence le vinaigre de Cidre de pomme, à titre d’indication en assaisonnant une salade verte ou en diluant une cuillerée à café dans un verre d’eau, réduit considérablement le niveau de graisses dans le corps humain et aide à prévenir les maladies cardiovasculaires, en convertissant l’excès de graisses en Acetoacetate ; ce dernier qui entre dans le métabolisme alimentaire.

    Aussi, le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) mangeait-Il du vinaigre avec de l’huile. Durant l’année des « cendres »[1], Omar Ibn Khattab (qu'Allah soit satisfait de lui) ne mangeait que du vinaigre et de l’huile, et n’a jamais mangé de la viande sauf si les pauvres des musulmans en soient rassasiés.

    Le vinaigre de Cidre de pomme reste ainsi le meilleur : Il contient, outre l’acide acétique, des acides organiques qui entre dans le métabolisme alimentaire et des minéraux indispensables pour le corps humain.

    Le livre du Docteur Jaffrès « Médecine Populaire » qualifie le vinaigre d’un excellent antiseptique pour le système digestif et d’un anti-inflammatoire naturel pour les reins et la vessie.

    Source : « Guérir grâce aux végétaux et à la médecine prophétique ». Docteur Abd Albasset Mohamed. Professeur de la bactériologie et de la microbiologie dans plusieurs universités en Égypte. 

    Traduit par: Youssef Daou

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